- Le plan du Parti vert en matière de climat est exhaustif, ferme et viable.
- Le plan préconise les réductions les plus hâtives et les plus importantes des émissions des gaz à effet de serre de tous les partis fédéraux.
- La mise en œuvre immédiate de ce vaste ensemble de mesures fiscales et réglementaires entraînera des progrès rapides et spectaculaires en matière de réduction des émissions.
- Le Parti vert s’intéresse au dossier du réchauffement climatique depuis vingt ans : il recueille des renseignements sur les réussites et les échecs des mesures adoptées dans d’autres pays et adapte ces méthodes au contexte canadien.
- La taxe sur le carbone est le moyen le plus efficace de réduire les émissions à effet de serre.
- Le Parti vert est le seul parti fédéral disposé à faire ce que recommandent tous les experts : donner un prix aux émissions de dioxyde de carbone.
- Notre proposition de taxe sur le carbone de 50 $ la tonne n’ajoutera que 0,12 $ au prix du litre d’essence, mais enverra le signal monétaire qui, selon les économistes, est un élément essentiel de toute stratégie visant à diminuer l’utilisation des combustibles fossiles.
- Il s’agit d’une mesure de répercussion de l’impôt, puisque les recettes provenant de la taxe sur le carbone serviront à réduire progressivement d’autres taxes et à atténuer les répercussions sur les Canadiens à revenu faible et moyen.
- Le Canada doit être un chef de file mondial.
- Le Canada n’émet que 3 % des gaz à effet de serre à l’échelle mondiale. Ce que nous faisons à l’échelle nationale est important, mais notre leadership à l’échelle mondiale importe davantage.
- Notre crédibilité repose sur notre capacité relative de réaliser des réductions d’émissions de gaz à effet de serre générales.
- Les gestes du premier ministre Harper menacent la crédibilité du Canada sur la scène internationale. Il semble déterminé à diluer la volonté des pays européens à réduire les émissions et à appuyer les retardataires de l’administration Bush en matière de changement climatique.
- Ce n’est qu’en adoptant un plan exhaustif et audacieux en matière de changement climatique comme celui que présente aujourd’hui le Parti vert que le Canada pourra de nouveau faire preuve de leadership dans les négociations sur les changements climatiques.
- La transition vers une économie faible en carbone n’est pas seulement morale, mais elle est aussi économique
- La transition vers une économie faible en carbone et à haut rendement énergétique présente des perspectives commerciales encore jamais vues dans le monde.
- Le Canada devrait suivre l’exemple de l’Europe et participer à l’exploitation de ce riche filon propre et vert, plutôt que de s’accrocher aux modes de consommation d’essence du siècle dernier.
- Chaque jour, l’inaction nous rapproche de catastrophes climatiques.
- Nombre de climatologues s’entendent à présent pour dire que si la température mondiale moyenne augmente de deux degrés Celsius, nous courons à la catastrophe.
- Selon eux, cela pourrait se produire si les concentrations de CO2 dans l’atmosphère augmentent de 400 à 450 ppm. Nous sommes à présent à 384 ppm, et on observe une augmentation annuelle de 3 ppm. Le temps presse!
- Pour éviter les conditions atmosphériques aptes à provoquer une augmentation de deux degrés, il faut voir au-delà des objectifs de Kyoto et diminuer, d’ici 2020, les émissions de dioxyde de carbone de 47 % par rapport aux niveaux actuels.
- Le défi du carbone est l’équivalent du 21e siècle de la course de l’espace – mais en plus gros!
- En 1961, lorsque le président Kennedy a indiqué qu’un Américain foulerait le sol lunaire d’ici la fin de la décennie, il ignorait même si un tel projet était réalisable.
- Comparons cela à la réponse défaitiste de Stephen Harper (« c’est impossible ») relativement à l’atteinte de cibles de Kyoto par le Canada.
- Plus que jamais, le moment est venu de dire « c’est possible » en matière de réchauffement climatique.