(OTTAWA) – Le Parti vert du Canada met en relief un rapport du Conference Board du Canada, publié le 1er septembre, au sujet des conséquences négatives de deux importantes maladies mentales – la dépression et l’anxiété – sur l’économie canadienne. Le rapport estime qu’un meilleur traitement de ces maladies pourrait faire progresser l’économie du Canada de 50 milliards de dollars par an.
« Le gouvernement du Canada sait depuis très longtemps que près d’un Canadien sur cinq souffre d’une maladie mentale, ce qui nuit sérieusement à son bien-être au travail, dans la collectivité, à la maison et à l’école », a dit le docteur Richard Walsh, critique du Parti vert en matière de santé mentale et professeur émérite de psychologie à l’Université Wilfrid Laurier.
« La dépression et l’anxiété ont de graves conséquences sur les personnes qui en souffrent, ce qui affecte la qualité de leurs relations avec leurs familles et amis, a ajouté le Dr Walsh. Sans compter les conséquences économiques liées à la perte de productivité, le bien-être des personnes, de leurs collectivités et de notre société dans l’ensemble souffrent en raison de la capacité diminuée des personnes dépressives et anxieuses à contribuer au maintien d’une société en santé. »
« À tout le moins, des normes nationales de santé mentale devraient être élaborées pour tous les milieux de travail, comme l’avait recommandé en 2012 la Commission de la santé mentale du Canada, a affirmé Elizabeth May, chef du Parti vert du Canada et députée de Saanich-Gulf Islands. Le Parti vert du Canada presse aussi le Cabinet de se servir de ce rapport du Conference Board comme motivation pour mettre en œuvre les réformes aux services concernant la santé mentale déterminées il y a 10 ans par le Comité sénatorial sur la santé mentale. »
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