L’électorat de Toronto—St Paul's peut changer le climat politique du Canada et sauver la démocratie, affirment les Verts

TORONTO - Un nouveau rapport du gouvernement du Canada nous met en garde sur le fait que trente-cinq risques écologiques, économiques et démocratiques pourraient conduire à l'effondrement de la société dans les dix années à venir s'ils ne sont pas pris en compte.

Les Verts exhortent les électeurs de Toronto—St. Paul's à envoyer un signal clair aux politiciens du statu quo pour leur dire qu'il n'est plus possible d'ignorer les risques qui se profilent à l'horizon.

« Lorsque 500 spécialistes gouvernementaux et parties prenantes font savoir aux ministres que les écosystèmes dont nous dépendons pour notre alimentation risquent de s'effondrer d'ici dix ans, nous ferions mieux de les écouter », a déclaré Christian Cullis, candidat du Parti vert pour l'élection partielle de Toronto—St. Paul's « Nous ne pouvons pas ignorer ces signaux d'alarme, comme le font les gouvernements libéraux et conservateurs lorsqu'ils sont avertis de la pénurie de logements, des risques de pandémie et de l'augmentation des inégalités. »

Parmi les risques mis en évidence dans le rapport fédéral Horizon politique Canada publié le mois dernier figurent un appauvrissement social accru, des services d'urgence perturbés, des milliardaires qui n'ont pas de comptes à rendre et qui dirigent le monde, des infrastructures essentielles mises hors service par des cyberattaques et une intelligence artificielle malveillante.

Les Verts estiment que ces risques sont inacceptables pour la société et demandent au gouvernement du Canada d'établir, avec les provinces, un plan d'action national clair et public soulignant comment il prévoit d'atténuer ces risques et leur impact sur la population.

« Le Canada possède tout le savoir-faire et l'expertise nécessaires pour résoudre les problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui. Nous avons déjà construit des maisons, nous avons déjà réglementé les marchés et nous avons déjà redistribué les richesses. Ce qui manque, c'est la volonté politique et le courage », a déclaré Jonathan Pedneault, chef adjoint du Parti vert. « Le 24 juin, Toronto—St. Paul's a l'occasion de dire : ça suffit. C'en est assez des politiciens veules qui sacrifient l'avenir pour leurs propres gains personnels. Assez des gouvernements court-termistes, semblables à des autruches, qui ignorent nos problèmes, nos souffrances et nos craintes. Assez de nos élus ignorent leurs responsabilités au détriment de la prochaine génération. »

Les électeurs de Toronto ont maintenant l'occasion de proposer un antidote aux multiples crises auxquelles nous sommes confrontés et de montrer la voie au reste du pays.

« Pendant des décennies, nous avons élu des gouvernements rouges et bleus qui avaient peur de leur propre ombre et qui étaient plus motivés par la peur d'énerver leurs donateurs ou de perdre des sièges que par le fait de protéger la population et de construire la société », a déclaré M. Pedneault. « Ils ont tous besoin d'une douche froide, et la meilleure façon d'envoyer un message clair que les électeurs en ont assez de la politique du statu quo est d'élire Christian Cullis comme prochain député de Toronto—St.Pauls. »

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