Carol Dyck

Carol est convaincue que la plateforme progressiste du Parti vert du Canada offre la meilleure opportunité pour bâtir une économie plus résiliente tout en réduisant nos émissions de gaz à effet de serre, en créant une société plus solidaire et en préservant les vastes et magnifiques espaces naturels de notre pays. Elle s’est également présentée aux élections fédérales de 2019 ainsi qu’aux élections provinciales en Ontario en 2018, 2022 et 2025.

Carol Dyck est une leader communautaire dévouée, engagée activement dans plusieurs organisations et comités à but non lucratif. Elle a siégé pendant sept ans au conseil d’administration du London Environmental Network, ainsi qu’au Thames Talbot Land Trust (2017-2020) et aux Magisterra Soloists, dont elle a été présidente (2021-2023). Elle a également été membre à titre personnel du Comité consultatif sur la planification environnementale et écologique de la Ville de London (2015-2020) et a auparavant siégé au Comité consultatif sur les arbres et forêts. N’ayant pas peur de se salir les mains, Carol a aussi fait du bénévolat pour ReForest London, en plantant des arbres pour élargir la canopée de la « Forest City », ainsi que pour Antler River Rally, en nettoyant des rivières, et pour Butt Blitzes avec A Greener Future.

Carol a d’abord obtenu un baccalauréat en relations internationales à l’Université de la Colombie-Britannique, où elle a également étudié le français, l’espagnol et l’allemand. Elle a ensuite déménagé à Monterey, en Californie, où elle a complété une maîtrise en politique environnementale internationale à l’Institut Middlebury d’études internationales. C’est là qu’elle a développé un intérêt pour le droit et s’est installée en Angleterre, où elle a obtenu une maîtrise en droit (LLM) en droit de l’environnement à l’Université du Kent. Carol a ensuite réalisé qu’elle souhaitait approfondir ses connaissances scientifiques afin de mieux traduire les découvertes scientifiques en recommandations pour les décideurs politiques. En 2013, elle et sa famille ont déménagé en Angleterre, où elle a obtenu une maîtrise en biodiversité, conservation et gestion à l’Université d’Oxford. Elle est convaincue que la résolution des problèmes environnementaux se situe à l’intersection de la science, du droit, de l’économie et des politiques publiques, et elle utilise son parcours académique varié pour y parvenir. Carol poursuit actuellement un doctorat à la Faculté de droit de l’Université Western, spécialisé en droit international de l’environnement, avec un accent particulier sur les zones marines, notamment l’océan Arctique.

Carol est consternée par le manque d’engagement réel du gouvernement fédéral en matière de réforme électorale. Elle croit fermement qu’un passage du mode de scrutin uninominal majoritaire à un tour à la représentation proportionnelle permettrait non seulement de lutter contre l’apathie des électeurs, mais aussi d’encourager le gouvernement en place à collaborer davantage pour fixer et atteindre des objectifs à long terme. Les pays les plus progressistes sur les plans environnemental et social possèdent des systèmes de vote plus représentatifs; le Canada pourrait et devrait suivre cette voie.

Originaire de Vancouver, Carol est en couple avec son mari depuis plus de vingt ans et ils ont deux filles. Elle aime voyager et a eu la chance de vivre dans douze villes situées dans six pays différents. Elle a de nombreux cousins à Prince George et gardait un excellent souvenir des visites à la ferme de son oncle lorsqu’elle était enfant.