Jack Pennings

Sur le plan professionnel, je suis peut-être la seule personne à détenir une maîtrise en travail social tout en travaillant dans la sécurité des appareils mobiles — un domaine dans lequel je suis actif depuis 18 ans. Ces parcours peuvent sembler opposés, mais ils m’ont permis d’acquérir à la fois une perspective technique et sociale que j’apporte à ma candidature. Pendant ma carrière en travail social, j’ai travaillé dans les domaines de la toxicomanie, des droits des personnes en situation de handicap, et des relations entre locataires et propriétaires.

Je suis un nouveau venu au Parti vert. Ce qui m’a poussé à m’engager, c’est le cafouillage — voire les attaques directes — autour de la soi-disant taxe carbone par les autres grands partis. Je ne crois plus pouvoir leur faire confiance pour assumer nos responsabilités environnementales.

C’est un honneur de représenter le Parti vert du Canada dans notre circonscription lors de cette élection historique. Je me souviens de l’élection sur le libre-échange de 1988 comme d’un moment de débat national passionné. L’élection actuelle s’annonce tout aussi importante. J’ai le sentiment que l’ère du libre-échange nous a peu à peu rendus plus complaisants et moins distincts en tant que nation. Mais aujourd’hui, il est temps de renouer avec un projet de construction nationale. Je souhaite avant tout que l’équité intergénérationnelle, la responsabilité environnementale, l’audace économique, une démocratie plus vivante et une vision résolument canadienne soient au cœur de ce projet.

Mon passe-temps est l’astronomie amateur, qui mène à bien des choses : une grande appréciation des sciences et des technologies, bien sûr, mais aussi une prise de conscience du problème de la pollution lumineuse et de la beauté des environnements nocturnes en milieu rural.